- Paris, 75004
- Du 08/09/2025 au 31/03/2026
- 20h50
- Tout public
- À partir de 16 €
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Une matière à jouer évidente dont nous nous sommes emparés, subjugués par la puissance théâtrale des lettres. Nous avons alors décidé d'en faire une adaptation en y insérant des extraits des carnets de Camus, des souvenirs de Maria Casarès,sans oublier le contexte historique, politique et social de cette époque particulièrement troublée... guerre d'Algerie, décolonisation, arrivée de De Gaulle au pouvoir, premier Festival d'Avignon ... a l'aide de documents sonores. Pour nous mettre en scène, nous avons fait appel à l’ancienne directrice du Théâtre des Quartiers d’Ivry, Elisabeth Chailloux.
Distribution
Équipe artistique
Auteur(s)
Teresa Ovidio et Jean-marie GaleyMetteur(s) en scène
Élisabeth Chailloux et Jean-marie Galey
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Les avis sur le spectacle
La presse en parle
TéléramaTeresa Ovidio et Jean-Marie Galey, mis en scène par Elisabeth Chailloux, réinventent, réincarnent superbement les voix, les corps des deux amants, qui sans gémir ni renoncer à leur vocation surent avec orgueil s'aimer, se respecter jusqu'au bout. Ce fut le succès du Off, il faut y courir à nouveau. Fabienne Pascaud
L’HUMANITÉCette histoire, Jean-Marie Galey et Teresa Ovidio, mis en scène avec élégance par Élisabeth Chailloux, ne se contentent pas de la faire vivre, mais lui donnent chair, transparence et couleurs. Ils sont les deux personnages avec un naturel troublant. Magique. Gérald Rossi
LE FIGAROOn entre dans l'intimité de ces «monstres» comme des témoins privilégiés. Dans les ombres tutélaires de Sartre, Jean Vilar ou Gérard Philipe. Nathalie Simon
LE CANARD ENCHAÎNÉViva Maria ! Mathieu Perez
ScèneWebRarement Albert Camus et Maria Casarès nous auront semblé si proches La désinvolture de Camus, son embarras parfois, sa finesse d’observation, sa pudeur, Jean Marie Galey se glisse dedans avec un charisme et une présence de l’ordre de l’évidence. L’énergie tellurique de Casarès, ses élans, Teresa Ovidio les embrasse à bras-le-corps. Elle vibre au plus près de nous et les frémissements de sa peau nous tirent larmes et frissons. Marie Plantin